mardi 22 avril 2008

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jeudi 21 février 2008

Biophobie

Biophobie
Vidéo envoyée par Speuw

"Composition chorégraphique instantanée" de Pamela Domah : "Quel espace occupons-nous au cours d'une journée, d'une vie ?
Dans quelques heures, je serai partie, l'urgence se mêle à la violence de ma colère et de mon refus
Dans quelques heures, je serai partie, à la découverte d'un nouveau monde qui promet bien des défis à relever
Loin de ceux que j'aime, que restera-t-il de moi-même, si l'individu se définit par les liens qu'il noue avec d'autres êtres ?
Je ne sais pas où je vais
Je ne sais pas ce que je vais trouver
Ni ce que je cherche
Je ne sais pas ce que je vais être
J'ai peur... Mais je suis prête à embrasser ce qui m'attend
courage, persévérance, patience
et enthousiasme
Déracinée je trouverai ma place si je rencontre un regard qui pourra me voir
telle que je suis

vendredi 1 février 2008

mouvement.net - l'indisciplinaire des arts vivants

ACTU - LUTTE


Merci à "Mouvement" pour sa vigilance.


ÉDITO / CHRONIQUE
Christine Albanel demande l’asile politique à Rome !
date de publication : 30/01/2008 // 15425 signes
Rien ne va plus rue de Valois : humiliante procédure d’évaluation, crédits déliquescents, professionnels ulcérés…Pour répondre aux agressions sarkozystes en matière de « démocratisation culturelle », mouvement.net lance un OBUS (Observatoire des Budgets Unilatéralement Supprimés).
On a un Président formidable. Si, si ! Son Excellente Performance Nicolas 1er n’a pas d’argent (« les caisses sont vides »), mais il a la foi ! Il y croit, et à Latran, n’a-t-il pas déclaré : « Un homme qui croit est un homme qui espère. Et l’intérêt de la République c’est qu’il y ait beaucoup d’hommes et de femmes qui espèrent ». C’est bien, ça… Nous, on espère vraiment, par exemple qu’un Président (celui-ci ou un autre) déclare un jour : « Un homme cultivé est un homme qui espère. Et l’intérêt de la République… », patati, patata. Mais non, il ne faut pas désespérer ! Les rumeurs ne bruissent-elles pas d’une possible entrée de Jack Lang au futur gouvernement du grand écart ? Le fondateur du festival de Nancy, le hussard dépêché par Mitterrand auprès de la rébellion artiste, en sauveur des arts, des lettres et de la techno. Ah que ça aurait du panache, comme dirait Johnny Halliday…
En attendant, certes, faut pas rêver. En attendant, la culture devra se contenter de cacahuètes. Et pour un Bartabas briseur de bureau, combien d’artistes silencieusement condamnés au casse-tête budgétaire ? Les artistes seraient-ils une espèce en voie de disparition ? La revue Cassandre (qui, décidément, porte bien son nom), n’ayant crainte de comparer le créateur (forcément maudit) au plantigrade polaire menacé par la fonte de la banquise, lance un curieux manifeste des Ours. C’est que, diantre, il y a péril en la demeure, face à « une offensive matérialiste mondiale qui a pour but de déshumaniser l’être humain ». Rien de moins ! Cet « appel à des politiques responsables », qui vise surtout réveiller la gauche (« La gauche française doit faire de la culture un de ses thèmes majeurs, faute de quoi elle se privera d’un atout essentiel. L’un des derniers dont elle dispose vraiment »), n’hésite pas à emprunter un vocabulaire quasi mystique, pour ne pas dire religieux. Citons quelques perles de ce sermon : « Pour toucher l’âme en profondeur, rien n’égale la force de l’art » ; « après guerre, dans un partage d’émotions propices à l’élévation des esprits, la France a su peu à peu renaître de sa débâcle morale » ; ou encore « le vrai travail de l’art (…) ouvre la voie d’un enrichissement et d’un élargissement de l’âme ». Et l’âme ainsi élargie (quoique de « manière souvent imperceptible » - sic) a pu faire naître un « désir d’émancipation » où s’est forgée, « par le lien créé par la culture, une histoire commune que portent l’art et la pensée, la poésie et le théâtre, réunissant un peuple entier ». Disons-le tout net : ce genre de prose, d’un lyrisme grandiloquent, nous fatigue autant que les frous-frous médiatiques du Président Duracell ! Ce n’est pas en rappelant sans cesse, sur le ton d’une nostalgie pathétique, les mannes d’un prétendu âge d’or, que l’on parviendra à pleinement saisir les enjeux du temps présent.
Et pour contrer l’aculture du régime sarkozyste, un peu de dérision ne saurait faire de mal. Exemple : en ce moment, L’Echangeur de Bagnolet, théâtre animé par la Compagnie Public Chéri, s’offre « cinq semaines d’extension inaugurale » (après moult années de créations dans un bâtiment pris à la hussarde, une seconde salle vient d’ouvrir, doublant –en surface mais pas en budget- les capacités d’accueil). Dimanche dernier, lors des « petites formes » présentées à cette occasion, Marie-José Malis (sauf le respect que l’on doit par ailleurs à son travail) a cru bon faire lire un texte (au demeurant magnifique) d’Antoine Vitez, écrit au moment où celui-ci prenait les rênes du Théâtre national de Chaillot. Emouvant, certes, mais aussi pouvant donner l’impression du théâtre se parlant à lui-même, s’auto-célébrant (là encore) dans une veine dont on a du mal à considérer qu’elle puisse aujourd’hui convaincre au-delà des déjà convaincus. Présentée ce même jour, et jusqu’au 10 février (1), la création de Régis Hébette est, a contrario, un vrai régal. « S’il ne peut changer l’ordre des choses, le théâtre peut encore changer l’ordre des mots », écrit le directeur de Public Chéri (et de l’Echangeur). « Que peut encore notre théâtre quand se dérobent les fondements rationnels de la langue sur lesquels il repose ? C’est ce questionnement et le désarroi pathétique et comique qu’il induit qui sont ici proposés en partage ». Cette création, au titre improbable d’Ex Onomachina, portée par un formidable quatuor d’acteurs (Pascal Bernier, Fabrice Clément, Sylvain Dumont, Majida Ghomari), fort astucieusement mis en scène avec les moyens du bord (sans esbroufe ni poudre aux yeux, c’est-à-dire que chaque euro engagé dans cette création est un euro utile. Et toc !), réussit à opposer aux langages normés de l’information et de la communication, une langue balbutiante, archaïque et sonore. Quand la langue trébuche (« là où ça dit là »), que le burlesque s’en empare avec délectation, que ça détourne de la chanson populaire pour faire sens commun, on se fiche un peu de savoir si ça « élargit l’âme ». En tout cas, ça réveille l’intelligence, zygomatiques compris, ça pétille et ça enjoue. Et enfin, cerise sur le gâteau, pirouette politique de bon aloi, la fin du spectacle fait très astucieusement rire en évoquant la fameuse lettre de mission présidentielle à sa ministre de la culture. Mais si votre ramage se rapporte à votre plumage, et que, comme il est suggéré, les subventions seront désormais « indexées sur le taux de satisfaction du public », alors les aides ministérielles au théâtre de l’Echangeur devraient être immédiatement doublées, triplées, décuplées…. Ce qui, on s’en doute, est loin d’être à l’ordre du jour !
On ne se moque pas : on se fait vraiment du souci pour Christine Albanel. Ridiculisée d’avance par les extravagants critères retenus pour mesurer sa « performance » en termes de résultats : au passage, on se demande quel est le montant de la prestation du cabinet de stratégie Mars&Co pour accoucher de telles âneries (2). Humiliée par un Président de la République qui annonce, sans l’en prévenir, la fin de la publicité sur les chaînes de télévision publiques. Et condamnée à un exercice chorégraphique peu stimulant : la valse-hésitation. Un jour, j’annonce un gel budgétaire de 6 à 10%. Quelques jours plus tard, sous la pression des poids lourds du spectacle vivant, j’annonce une rallonge budgétaire de 34 millions d’euros pour ce secteur. Encore un peu plus tard, sous la pression des milieux du cinéma, j’annonce que ladite rallonge sera coupée en deux entre spectacle vivant et cinéma. Pour calmer les professionnels qui réclament « un Grenelle de la Culture », j’annonce des « Entretiens de Valois » censés débuter le 1er février. Mais le 30 janvier, j’annonce leur report au 11 février. E la nave va… Franchement, il y a de quoi tourner maboul !
Quoi qu’elle en laisse paraître, on imagine fort bien Christine Albanel en femme au bord de la crise de nerfs. En tout cas, à en croire certaines rumeurs dignes de foi, elle prépare ses cliques et ses claques. A la perspective d’un remaniement ministériel au lendemain des élections municipales, on comprend fort bien la hantise du chômage qui doit étreindre l’actuelle ministre de la Culture. Un avenir professionnel, ça se prépare ! On verrait fort bien Christine Albanel à la présidence de France Télévisions, mais avec d’improbables financements privés de recettes publicitaires, ça sent la planche pourrie. Le salut est ailleurs. Petit jeu de chaises musicales. Il se trouve que la direction de la prestigieuse Villa Médicis (l’académie de France à Rome) sera prochainement vacante ; Richard Peduzzi approchant de la retraite. Le poste intéresserait vivement Olivier Poivre d’Arvor, actuel directeur de Cultures France. Mais la Villa Médicis a aussi les faveurs de Christine Albanel. Jusqu’aux élections municipales et le remaniement ministériel qui devrait suivre, il y a donc embargo. En cas de pépin, il sera toujours possible à l’actuelle ministre de la Culture d’organiser son asile politique en Italie !
On s’amuse, on s’amuse, mais ce n’est pas drôle pour tout le monde. Car pendant ce temps de navigation à vue, elles courent, elles courent, les coupes budgétaires. Et d’où qu’elles viennent, les nouvelles sont franchement alarmantes. Tout le dispositif des Espaces Culture Multimédia est ainsi brutalement remis en cause, sans la moindre explication officielle (voire lien ci-dessous). En matière de musique contemporaine, le Living, réseau national qui structure ce secteur, et le Collectif Futurs composés viennent d’adresser une lettre à la ministre qui s’inquiètent de ce que « toutes les structures de création, de production, de diffusion et d’action culturelle, ensembles instrumentaux, interprètes et compositeurs réunis dans nos réseaux soient gravement touchés, d’autant plus que des annonces de coupes profondes dans les budgets des actions pédagogiques ont aussi été faites » (voire lien ci-dessous). Cette inquiétude gagne tous les secteurs du spectacle vivant, et dans un communiqué, le Syndeac tire la sonnette d’alarme sur la situation des compagnies indépendantes, des scènes conventionnées et de certains lieux et festivals, et annonce à demi-mot qu’il suspend sa participation aux « Entretiens de Valois » à la prise en compte de ses revendications (voire lien ci-dessous)..
Des informations précises commencent à parvenir de différentes régions. Ainsi, en Provence Alpes Côte d’Azur, où une manifestation est annoncée pour ce 1er février à 10 h devant la DRAC à Aix-en-Provence, le directeur (par intérim) de la Direction régionale des affaires culturelles avoue n’avoir reçu que la moitié de ce qui serait nécessaire pour maintenir le budget des institutions, lieux et compagnies conventionnés. Plus grave encore : dans cette même région qui, ironie du sort, prépare activement la candidature Marseille-Provence 2013 capitale européenne de la Culture, le programme de « transmission des savoirs et démocratisation de la culture » est carrément ratiboisé : en dehors de la ligne éducation culturelle et artistique, tous les programmes liés à la politique de la ville, aux politiques territoriales et aux actions spécifiques risquent de passer à la trappe. De l’aveu même de la DRAC, il manque 1,7 million d’euros pour maintenir certaines aventures existantes, sans même imaginer pouvoir en déployer de nouvelles. Bref, ce n’est plus un ministère de la Culture, c’est une grande braderie !
Face à cette barbare agression sarkozyste, fort éloignée de ce que promettait le projet culturel de l’UMP (il serait d’ailleurs curieux de savoir ce qu’en pensent certains élus du parti majoritaire, notamment ceux qui ont signés le Manifeste des Maires de Grandes Villes de France, auquel nous faisons récemment allusion), Mouvement va tâcher d’apporter sa modeste contribution. Dès aujourd’hui nous lançons un OBUS (Observatoire des Budgets Unilatéralement Supprimés), et invitons toute équipe de création, toute structure artistique et culturelle à nous communiquer les informations les concernant ou dont elles auraient connaissance (par mail, à redaction@mouvement.net). La première tâche est, en effet, que tout cela se sache nationalement, le plus précisément possible. Nous avons en effet très à cœur de participer à « l’évaluation » de la désastreuse politique que mène dans ce pays le futur mari de Carla Bruni.
PS – Ça n’a rien à voir (quoique), mais un petit coup de griffe pour finir. Récemment, dans Charlie Hebdo, Philippe Val déplorait que Libération ait, un peu à la légère, raillé les « bobos » : « Sera bobo, donc objet de moquerie méprisante, quiconque lit des livres et cherche à en faire lire aux autres, quiconque aide un SDF, quiconque, au fond, vit en ville, essaye de faire un métier qui lui fait plaisir et consacre un budget à la culture ». Dans le même Libération qui se veut « de gauche », Raphaëlle Garrigos et Isabelle Roberts ont échafaudé, en page Ecrans (19 janvier 2008), quelques scénarios pour dessiner le devenir possible de France Télévisions sans publicité. Une enquête journalistique digne de ce nom ? Pas vraiment. Plutôt un papier léger, dans l’air du temps, quoi. Arrêtons-nous un instant sur le cinquième scénario, qui suggère que la « culture à donf » va remplacer la pub : « Ça commence dès potron-minet avec Edgar Morin aux commandes de Télématin et se poursuit l’après-midi par des lectures, quatre heures durant et par un acteur et par un acteur filmé face caméra sur un fond gris taupe, d’Ulysse de James Joyce. Chaque soir est diffusé en alternance le Plus Grand Opéra du Monde (qui a remplacé le Cabaret de Patrick Sébastien) te un ballet en direct. Pour le premier numéro, Carolis a choisi une célèbre adaptation de 4’33", le célèbre morceau silencieux de John Cage, mais en version silencieuse. Pendant 4 h 33, deux caméras filment les mains immobiles d’un pianiste et les pieds tout aussi immobiles d’un danseur ». On en reste baba ! Est-ce que c’est « tendance », lorsqu’on se proclame « de gauche », de caricaturer de façon aussi grossière ce que pourrait être une présence culturelle accrue à la télévision, en la présentant comme quelque chose de forcément chiant, rébarbatif, soporifique ? Sans en appeler à « l’élargissement de l’âme », de Cassandre à Mouvement, on devrait au moins être d’accord pour trouver le procédé quelque peu étonnant !
1. Ex Onomachina, textes, mise en scène et scénographie de Régis Hébette, à L’Echangeur de Bagnolet, jusqu’au 10 février (du jeudi au samedi à 20 30, le dimanche à 15 h). www.lechangeur.org
2. Voir l’excellent article de Daniel Conrod, Y a-t-il encore un ministre à la Culture?,
Télérama, 23 janvier 2008. Les cabinets ministériels ont été, paraît-il, étroitement associés à la définition de ces critères d’évaluation : voilà qui n’est guère rassurant ! Le site Internet de Mars&Co précise que « la caractéristique essentielle de Mars&Co est sa capacité unique à aider ses clients à visualiser clairement les contours de leurs champs de bataille aussi bien que le positionnement dynamique de leurs concurrents. (…) Mars&Co aide également ses clients à disséquer les forces de l'ennemi aussi bien que les discontinuités du marché de manière très précise afin de parvenir à définir une stratégie plus précise fondée sur de meilleures informations ». Par ailleurs, à en croire le blog politique de Luc Mandret (http://777socrate.blogspot.com/2008/01/mars-co-les-ministres-nots-par-un.html), qui cite le site internet du Nouvel Obs : « Mars & Co est en infraction avec la loi. Pas très sérieux. Sur le site Internet du Nouvel Obsa>, on apprend que la société n'a publié "aucune inscription, pourtant obligatoire, de ses comptes annuels au greffe du tribunal de commerce". »

Jean-Marc ADOLPHE

à visiter
Disparition du dispositif espace culture multimedia
La contre-lettre de mission envoyée par des « citoyens libres » à Madame Christine Albanel, ministre de la Culture et de la communication
La lettre à la ministre de la Culture du Living, réseau national musique contemporaine, et du collectif Futurs composés
Le communiqué du Syndeac
Le site internet du Synavi (Syndicat national des arts vivants)
Sarkozy ou la panne culturele, article d’Antoine de Baecque sur Rue 89

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POUR INFO :




16/02 > 17/02/2008 - PARIS
Parcours artistique décalé
Les plans d’avril
De l’hiver au printemps, la cinquième édition du festival Les Plans d’Avril se déroulera en trois temps, proposant un parcours artistique pluridisciplinaire et décalé. Divers lieux parisiens accueilleront danse, théâtre, musique et arts plastiques, pour un festival familial emprunt d’un grain de folie. La première session débutera cet hiver, les 16 et 17 février au Grand Parquet.
Décalage assuré pour cette nouvelle édition, parsemée dans des lieux parisiens toujours plus insolites, tels que le Grand Parquet, le Point Ephémère ou Micadanses. Cette année, la part belle est faite à la danse, avec des chorégraphes européennes, deux soli de Thomas Lebrun en avant-première et la Compagnie Eolipile, présente en février. Côté musical, de la danse aussi, avec Marc Tompkins qui se fera chanteur, mais pas seulement. Là aussi, l’extrême variété sera aussi de mise, de l’électro ludique (Gangpol et mit, Juicy Panic, Carton Park) au punk débridé (Mami Chan Band), en passant par la folk (Cocoon), la variété délirante (Beau Catcheur) ou un ciné concert (projection du film Gosses de Tokyo mis en musique par le collectif HAK). Dans ce festival foisonnant, on trouvera aussi bien du théâtre (avec les Scopitone& Cie), que de la littérature (avec Thomas Gornet), ou encore des expositions (avec la plasticienne Allisaround et le graphiste Guillaumit). Ces Plans d’Avril seront également l’occasion de se frotter à de nouveaux horizons, avec des cours de kung fu, de danse africaine ou de yoga ouverts à tous.
La danse comme invitée d’honneur, donc. C’est un bal kitsch et moderne qui ouvrira les festivités de ce mois de février. Installé au Grand Parquet, le Swingo Musette offrira une joyeuse ballade au fil du temps, une fête dynamique teintée d’un zeste d’humour nécessaire pour que les rythmes d’antan s’accordent aux javas d’aujourd’hui. On danse à tous les âges : les enfants auront leur propre bal, avec la compagnie Eolipile en guise de partenaire. Leurs Petites pièces chorégraphiques itinérantes tiendront lieu d’échauffement visuel, pour les petits comme pour les grands. Les interprètes évolueront dans un décor mobile et aérien, et seront à l’affût les uns des autres, « dans une métaphore lumineuse sur les liens qui se nouent au quotidien ».
Les Plans d’Avril invitent donc le public pour un jeu de pistes artistique, suffisamment décalé pour donner des marionnettes aux grands, de la musique électronique aux petits, ou faire chanter les chorégraphes.
Magda Kachouche

en bref

Parcours artistique décalé
16/02 > 17/02/2008
PARIS

à visiter
http://www.plansdavril.com

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